Crysa Beladë [Admin]

- Nom : Beladë
- Prénom : Crysa
- Âge : 19 ans
- Race : Ange Déchue

- Description Physique : Crysa est une jeune femme plutôt jolie, qui possède un très grand charme. Ses formes fines s’associent très bien avec ses mouvements : gracieux, léger, calme. Sa silhouette est svelte, elle a de longue et fines jambes. C’est une personne très forte, malgré les apparences. Ses cheveux d’un joli bleu turquoise inhabituels son noués par un petit ruban noire, ils lui arrivent dans le bas du dos et son coupés en dégradé. Ses beaux yeux bleus-verts son surmontés de long cils bien noirs, elle a de fins et discrets sourcils. Crysa a les oreilles étrangement pointues, il serait possible qu’elle ai un lien de parenté avec un elfe. Elle a de grandes et puissantes ailes noire dans le dos. Son poignard est calé dans sa botte droite, et son grand arc ainsi que son carquois se trouvent entre ses deux grandes ailes noires. Elle mesure Environ 1,75 mètre, pèse 48 kg et chausse du 39.

- Caractère : Crysa est mystérieuse, et n’aime pas beaucoup parler. Elle est très intelligente et rusée, ce qui fait d’elle une combattante très dangereuse. Elle est impitoyable avec ses ennemis, mais reste très polie avec le reste de la population. Elle est tout de même gentille et protectrice avec ses rares amis. Crysa est solitaire, elle n’aime pas le travail d’équipe. Grâce à ses parents adoptifs, elle est rieuse et taquine, mais aussi juste et à un grande respect pour les hommes justes.

- Histoire :

Tout est noir. Crysa à les yeux grand ouvert, elle a peur. A cet instant, elle doit avoir 7 ou 8 ans. La fillette tremble. Elle a froid. Ses larges vêtements blanc ne la protège pas du vent glacial. Dans cet univers inexistant, il n’y qu’une chose. Le silence. Un silence rompu par les gémissements du vent. L’enfant appelle à l’aide, des larmes coulent sur ses joues malgré elle. Et puis soudain, une lumière. Sur ce qu’elle pense être le sol. La jeune fille avance vers cette lumière. Un gouffre. Un immense trou, lumineux. Elle ne vois ce qu’il y a dedans. La fillette se penche. Soudain, elle bascule. Essaye de se rattraper. Pleur. Tombe. Hurle. Et puis, plus rien. Voilà le premier souvenir de Crysa.

La jeune fille ouvrit les yeux. Elle se trouvait allongée dans l’herbe, au milieu d’une clairière. Elle à mal aux partout, mais surtout au dos. Crysa sens quelque chose, dans son dos. Crysa sens qu’il y a quelque chose de nouveau. Elle se redresse doucement, toute cassée, et avance ça main, hésitante. Elle se touche la nuque, et sens quelque chose. Une matière douce lui a frôler la main. Apeurée, l’enfant retire sa main. Qu’est-ce que c’était ? La jeune fille recommence. Elle descend un peu. Sur l’omoplate… Qu’elle ne touche pas vraiment, car elle sens une bosse. Elle remonte doucement la main, effrayée, et caresse pour la première fois ses grandes ailes. Les longues plumes noires glissent entre ses doigts, elle retire sa main en criant. Paralysée, elle resta ainsi quelques instant, avant de se lever à toute vitesse. Trop vite. Crysa s’écroule sur le sol. Elle colle son visage contre la Terre. Arrache de l’herbe avec ses doigts fins et fragiles. Sanglote. Elle ne sait pas qui elle est, elle ne sait pas comment elle est arrivée là, elle ne sait pas ce qu’elle doit faire… Elle ne sait pas. La jeune fille à peur. Très peur. Elle resta ainsi plusieurs heures, crispée et effrayée au dernier degré. Lorsque l’aube se lève, la fillette se décide. Elle se relève, toute endolorie, et se met en marche. L’immense prairie où elle se trouve n’en finit pas. Epuisée, la fillette finit par s’effondrer. Elle s’endort presque aussitôt. Lorsqu’elle se réveille, il doit être près de 5 heures de l’après midi. L’enfant se relève. Elle cherche du regard. Quoi ? Elle ne sait pas… Puis elle se remet en marche. Elle part dans son monde intérieur. Lorsqu’elle sort de sa planète, il fait nuit. Elle est au beau milieu d’une forêt. Crysa fit encore quelques pas, la peur au ventre, lorsqu’elle trébuche. La fillette ferme les yeux et pousse un cri. Lorsqu’elle rouvre les yeux, elle se rend compte que la moitié de son visage est dans l’eau. L’enfant se relève, et regarde l’eau. Un rayon de lune filtré à travers les feuillage l’éclaire, un cours instant. Elle voit son visage. Ses pupilles se dilate, elle est soudain secouée d’un spasme d’horreur et de dégoût. Derrière… Elle à vu ses ailes. La jeune fille, genoux à terre, les mains dans l’eau, se met à vomir. Cette vision la répugne. Elle ne veux pas. Elle ne l’accepte pas. Ces choses ne font pas partie d’elle. C’est tout simplement impossible. Crysa finit par s’évanouir. Laissée pour morte dans la forêt.
Lorsqu’elle se réveilla, elle se trouvait allongée sur un lit. La fillette se trouvait dans la maison d’un vieux couple d’éleveurs. C’était l’homme qui l’avait retrouvée inconsciente dans la forêt, lors d’une de ses longue balades. A côté d’elle, il y avait une petite table. Dessus, une petite nappe brodée supportait une assiette plein de nourriture, un verre remplit d’eau, et des petits couverts en argent. Sans réfléchir, l’enfant se redressa et se mit à manger férocement, avec les doigts. Elle venait juste de finir de manger lorsqu’une vielle femme entra dans la pièce. La femme de l’éleveur qui l’avait trouvée dans la forêt. Celle-ci sourit et, s’approcha de Crysa. L’enfant recula instinctivement tout au fond de son lit, et se plaqua contre le mur, déployant ses ailes, et les aplatissant contre la pierre recouverte d’étoffes de couleurs. Kayla, car tel était de nom de l’éleveuse, admira les magnifiques plumes noires des ailes de la fillette, et lui dit…
« Ne t’inquiète pas, je suis ton amie… Comment t’appelles-tu ? »
Crysa, surprise par la gentillesse et la douceur de la voix de la femme, glissa jusqu'à s’asseoir sur le matelas. Elle répondit, timidement :
« Crysa… Et toi ? »
La vielle femme sourit tendrement. Elle lui rappelait sa fille, qui avait été tuée vers l’âge de 16 ans par des lycanthropes.
« Kayla. Viens avec moi, Crysa. Ne t’inquiète pas, je ne te ferais pas de mal. Mais tu es toute sale, il faut que tu te laves. »
Crysa hésita un instant, puis finit pas céder. Elle se leva, encore toute faible, et suivit la femme jusque dans la salle de bain. Pendant que Crysa se lavait, Kayla partit chercher des vêtement, dans l’ancienne chambre de sa fille. Elle ne put retenir une petite larme, lorsqu’elle attrapa un haut datant des huit ans de sa petite. Lorsqu’elle revint, Crysa était déjà sortit.
Le vieux couple adoptèrent Crysa, après avoir mener des recherches dans tous les villages alentours. Elle vécu de merveilleuses années avec eux. Crysa apprit à lire et a écrire grâce à Kayla. Elle lui montra la finesse, la subtilité. Elle lui apprit à dessiner, à imaginer. Quant à son père adoptif, Ehano, il lui apprit à élever les animaux, à les comprendre, à les aimer. Il lui apprit aussi à se battre, mais aussi a respecter les autres. Elle finit par apprendre à parler avec les animaux. La vie était douce ici, tout le monde avait finit par l’accepter, Crysa avait même réussit à accepter ses ailes. Elle avait accepté de en pas être comme les autres. Accepté son statut d’Ange Déchue.
Pour ses 14 ans, son père lui offrit un magnifique poignard. La sur la lame d’argent parfaitement aiguisée, de magnifiques et fines gravures représentaient un loup ailé, devant la lune. Le manche en bois d’ébène était incrustés de petites pierres précieuses de toutes les couleurs. Sa mère adoptive lui offrit aussi un magnifique arc, ainsi que des flèches aux pointes d’argent massif. Un nouvelle année passa, où Crysa apprit à chassé. Le jour de ses 16 ans, Crysa alla trouver ses parents. Elle leur annonça qu’elle allait partir. Sa décision était prise. Elle voulait découvrir le monde, car elle ne connaissait que ces plaines et forêts à perte de vue, et son petit village. Inquiets, ils refusèrent d’abord. Et puis, peu de temps après, ils finirent pas accepter. Sa mère lui cousu une magnifique paire de bottes noires, en velours et en cuire. Crysa, émerveillée, Les mis aussitôt, et s’en alla. Elle survola ses forêts bien aimées, puis arriva dans un premier village, plutôt grand. Le sourire aux lèvre, l’allure fière, Crysa se mit à arpenter les rues. Sur son chemin, tout le monde s’écartait, partait en courrant, ou la regardait, l’air mauvais. Elle ne comprenait pas. Pourquoi les gens la regardait-ils ainsi ? Qu’avait-elle donc fait ? Crysa finit par les ignoré, et repartit. La nuit tomba, et Crysa trouva une auberge où elle dormit. Le patron, qui était un homme gentil et non superstitieux, l’accueillit comme tous les autres voyageur. Au milieu de son repas, un elfe entra dans l’auberge. Celui ci demanda aussi une chambre, s’approcha de sa table. Que lui voulait-il, celui là ? Elle le sut très rapidement.
« Puis-je m’asseoir ? »
Crysa, surprise mais enjouée, accepta de bon cœur. Durant tout le repas, ils discutèrent. L’elfe s’appelait Arwen, il avait 17 ans, il avait quitté sa famille un an auparavant pour visiter le monde, tout comme elle. Il se rendait alors à Càdré Ima, comme elle. Tous deux surprit, Arwen finit par lui demander timidement :
« Est-ce qu’on peux faire le voyage ensemble, Crysa ? Je serais si heureux d’avoir quelqu’un avec moi, et d’autant plus une compagnie comme toi… »
Crysa rougit, et accepta. Arwen avait beaucoup de charme, et c’était quelqu’un de très bien. Elle l’appréciait beaucoup.. Le lendemain, ils repartirent ensembles. Crysa marchait, pour ne pas le dépasser. Elle se rendit compte que c’était beaucoup plus fatigant que de voler ! Alors, elle attrapa l’elfe dans ses bras, et s‘envola. Leurs deux poids combinés l’empêchait de monter très haut, mais ils allaient beaucoup plus vite, et ils s’amusaient beaucoup. Lorsqu’ils arrivèrent à destination, quelques jours plus tard, il faisait presque nuit. Lorsque les habitants virent Crysa, ils crurent que la mort venait chercher l’un d’entre eux. Ils courraient se réfugier. Incrédules, les deux amis les ignorèrent. Mais lorsqu’ils voulurent entrer dans une auberge, on chassa Crysa. Arwen, fou de rage, se battit contre un homme, qui avait attaqué son amie. Il le tua, et ils furent chassés. L’Ange Déchue ne comprit pas pourquoi Arwen avait ça pour elle. Il lui dit d’y retourner, et d’y dormir, mais il refusa catégoriquement de la laisser seule. Ils se couchèrent donc dans un bois, à côté de la ville. Crysa ne trouvait pas le sommeil. Elle ne comprenait pas. Son cœur battait à tout rompre, elle souriait dès qu’elle voyait, entendait ou sentait son ami, et rougissait légèrement dès qu’il lui parlait. Lorsqu’il lui faisait un compliment, elle était obligée de tourner la tête pour ne pas lui montrer à quel point elle était rouge. Elle alla s’assoire au bord d’une rivière, dans une clairière toute proche de leur petit campement. Elle regarda la lune, se lune bien aimée, celle qui la guidait. Sa vraie mère. Soudain, elle sentit quelque chose lui caresser la joue, et vit une ombre devant elle. Elle comprit que c’était son ami. Il remonta sa main sur sa nuque, ce qui la fit frissonner. Puis il passa sa main dans les cheveux de la jeune ange. Elle sourit. Il lui caressa ensuite les ailes. Elle les étira, puis la remit normales. Crysa se retourna. Son ami la regardait, un sourire tendre sur les lèvres. Dans ses yeux… Crysa se mit à rougir. Il se pencha, attrapa la main des on amie, et la fit se lever Crysa s’attendait à ce qu’il l’emmène au campement. Mais elle vit qu’il s’approchait. Son visage approchait du sien. Il lui déposa un tendre baiser sur les lèvre. Pour la première, c’est Arwen qui se mit à rougir. Il lui murmura deux mots. Ces deux mots dont elle rêvait depuis qu’elle l’avait rencontré. Deux mots qui marquèrent le vrai début de sa vie.
« Je t’aime… »
Crysa le tira doucement vers lui. Ils s’enlacèrent. Crysa était bien plus qu’heureuse.

Le jours passèrent, puis les mois. Le jeune couple continua à visiter le monde. Crysa et Arwen défendait leur cause, se battaient, vivaient. Mais sa famille lui manquait. Un matin, Arwen s’approcha de Crysa, et lui déposa un petit baiser sur les lèvres. Il avait l’air malheureux. Cela brisait le cœur de Crysa. L’Ange déchu demanda à son compagnon ce qui n’allait pas.
« Cette nuit, j’ai reçut un message. Mon père est mort. Je dois rentrer chez moi, pour les funérailles… »
La jeune femme comprit. Il allait devoir partir, et sûrement sans elle. Son cœur fit un bond dans sa poitrine. Elle chercha son regard, mais il était fuyant.
« Arwen… Je veux venir avec toi… »
L’elfe fit non de la tête. Une larme coula. Cette séparation le faisait autant souffrir que la mort de son père…
« Non Crysa… Je dois y aller seul. »
La jeune fille, affolée, lui attrapa les mains et les serra contre son cœur.
« Pitié Arwen, ne me laisse pas… J’ai besoin de toi, tu es ma raison d’être… Je t’aime… Emmène moi… »
Arwen refusa encore. Mais il lui fit un promesse :
« Je te promet, Crysa, je te promet que dès que se sera finit, je te rejoindrais. Où que tu sois, je te retrouverais. Et alors là, nous pourrons vivrent ensemble, pour toujours… »
L’Ange Déchue accepta, mais cela lui brisa le cœur. Ils se séparèrent dans la journée, et non sans larmes. Crysa décida de rentrer dans sa famille. Elle se mit en route, en volant. Elle avait maintenant 18 ans et demi. Lorsqu’elle arriva chez elle, Crysa comprit que ses parents étaient morts. Tous ses amis dans le village vinrent la consoler, mais rien n’y fit. Elle avait perdu ceux qui l’avaient aimé, câliner, ceux qui l’avaient nourrie, consoler, éduquer… Elle ne pouvait pas rester. Mais avant de partir, Crysa entra dans sa maison. Elle y récupéra des objets appartenant à ses parent décédé. Le collier de Kayla, l’épée d’Ehano. Au moment où elle allait sortir, Crysa vit une magnifique robe posée sur une chaise. Elle s’approcha, et vit un petit bout de papier posé dessus. L’Ange le prit, et lut…
« Ma petite Crysa… J’ai cousus cette robe pour toi, pour ton retour. Lorsque ton père est mort, je savais que je n’en avait plus pour très longtemps non plus. Alors je t’ai écrit ce mot, pour te dire à quel point je t’aime. Et même si tu n’est pas vraiment notre fille, nous seront toujours près de toi, ma fille. A chaque instant de ta vie. Promet moi d’être heureuse, Crysa. Promet le moi. Jure le. Mais surtout n’oubli pas. Il y a des hauts et des bas, dans la vie, mais elle ne s’arrête pas pour autant… »
Crysa se remit à pleurer. Elle pris la robe, et l’enfila. Elle coinça son épée à la petite ceinture de tissus qui lui entourais la taille, et s’en alla pour une ville qu’elle et Arwen n’avaient jamais visité. Ôliàceria.

- Métier : Eleveuse un jour, peintre le lendemain, guerrière de temps en temps… Crysa n’a pas vraiment de métier.

- Lieu de naissance et Lieu de vie : Son plus vieux souvenir ce passe dans les Plaines et Forêts de Gildia de l’Est. Elle voyage tout le temps, c’est une nomade.

- Aime : La nuit et le silence, la neige, la solitude, la finesse et la délicatesse, l’art.
-N'aime Pas : La naïveté, le soleil, l’agitation.

- Son plus Grand Rêve : Retrouver Arwen et ne plus jamais le quitté.
- Son pire Cauchemar : Qu’Arwen meurt…

- Préjuger sur les autres Races : Crysa aime bien les nains, elle les trouves drôle. Elle a un grand respect pour les elfes, qui respectent et protègent la nature. Elle n’aime pas les mages noire, ne prête aucune attention aux humains, et apprécie les Lycans.

Petit PS : Si quelqu'un veux incarnez Arwen, vous gêner pas. ^^

Crysa Beladë [Admin] Crysajo2